C'était une journée comme les autres dans la ville de neige. Une tempête piégée par les formations rocheuse couvrait le ciel. Quelques flocons tombaient ici est là, mais Walter était tous de même heureux. Il revenait à peine d'un contrat dans la ville de Seneyl, un autre avec des dettes de jeu qui pensait se caché. Il était bien heureux de revenir, il n'aimait pas vraiment l'humidité de la jungle. Sans oublier le voyage. La Elas Vegas est bien généreuse de payer l'aller et le retour, mais ça reste faire un voyage abord d'un transporteur douteux. Dans ses réflexions et ses constatations sur le contrat qu'il venait de faire, Walter atteignit le petit immeuble dans lequel il logeait. C'est un édifice plutôt modeste qui compte 5 logement en hauteur. Rien de bien spacieux. Une petite cuisine, une salle à manger, un salon, deux chambres dont une reconvertie en bureau et une salle de bain. Il occupait le plus haut.

Bien sûr, les voix l'avaient suivi. Il avait fini par leur donner des noms. Il avait chercher longtemps et essuyé plusieurs échecs. Mais, il avait fini par trouver. Il avait appelé la voix qui ,selon lui, représentait l'eau Nix. Celle qui devait représenter le feu, Ignis. Les deux autres avaient étés plus pénible à nommer. Il ne savait pas d’où elle pouvait bien venir et il avait vraiment chercher. Il avait fini par nommer la plus juvénile et immature Parum et l'autre, la plus ordonner... voir nécrosée, Altum.

Et c'est en montant l'escalier vers son appartement, que trois d'entre elle, Nix, Parum et Altum discutèrent. Nix s'émerveillait de chaque petit flocon qui tombait en commentent leurs formes. Parum et Altum débattaient sur la conclusion du dernier contrat. Parum aurait voulu être plus propre, avec du poison et une sarbacane. Altum ,quand à lui, aurait rasé le trois immeuble pour installer un canon et une moitié de la ville en tirent. La réalité était qu'il avait poignardé sa cible à trois reprises et fait passer ça pour un vol.

Quand il finit par entré, les quelques flocons s'étaient transformés en légion et le vent c'était levé. Il rangea ses quelques affaires et mis ses vêtements sales dans le lave linge. Il alluma une chandelle pour permettre à Ignis de s'exprimer. Il s'étendit sur son sofa et s’assoupit tranquillement alors qu'Ignis racontait à quoi ressemblait l'endroit d’où elle venait. Sa voix féminine à la fois douce et chaude le berçait alors qu'elle racontait et décrivait un pays, un endroit ou une oasis qui changeait à chaque fois.

Il se réveilla en sursaut. Quelqu'un tambourinait à sa porte. C'est péniblement qu'il se leva et ouvrit la porte. Un vent glacial vient lui mordre le visage et une silhouette emmitouflée dans un vieux manteau se trouvait devant lui. Elle ne se fait pas prier pour entrée et fermer la porte derrière elle. Walter recula de quelque pas pour laisser la silhouette enneiger prendre place sur le tapis de l'entré.

-T'a vraiment une mine de merde.

C'était la vielle voix étouffée de son ami Pablo. Il ne répondit que quelque parole incompréhensible que seul un homme mal réveillé pouvait prononcer sans se trompé.

-Aller, ont va boire un verre. Ça va te réveiller.

Walter se frotta le visage. Il regarda l'horloge au mur. Elle indiquait onze heures et quelques minutes.

-Mouis, pourquoi pas.  

Pablo sortit et Walter S'habilla. Ils marchèrent tranquillement sur la route d'un bar quelconque.

-Alors, ce boulot?

-C'était un boulot. Rien de bien compliqué.

-Comment était la température?

-Humide, chaude et pluvieuse.

-T'es pas très causant.

-Tu viens de me réveiller après 3 semaines de boulot. J'ai pas du dormir plus de 4 heures par nuit.

-Ça t'a vraiment pris trois semaines pour le trouver.

-Non, mais ils ne voulaient pas être reliés à tous ça. J'ai du attendre le bon moment.

Le bar était de l'autre côté de la rue. Ils traversèrent et entrèrent. L’ambiance était calme. Ils s’installèrent à une table dans le fond, un peu à l'écart des habitués. Une serveuse est venu prendre leurs commande. Un café alcoolisé pour lui et une liqueur local pour Pablo. Walter avait oublié comment Pablo était vieux. Il devait avoir 50 ou 60 ans mais, il paraissait en avoir 10 de plus.

-Les flics te cherche là-bas?

-Je crois pas.

-T'es sûr?

-J'ai pas demandé. Ça ferait suspect si je demandais à un flic de Norquima de demander un rapport sur un meurtre qui se doit être un vol.

-Mouis...

Il eut un moment de silence entre les deux hommes.

-Alors, t'es yeux?

-Quoi mes yeux?

-Fait pas le con Walter. Je sais que tu a acheté un monocle adaptatif et une lunette spécial pour tes fusils. Même des lunettes de neige. C'est si pire que ça?

Leurs commanda arriva et ils remercièrent la jeune femme avec un généreux pourboire.

-Je sais pas. Le doc que j'ai vue n'a pas su me dire c'était quoi mon problème. Juste que ça attaquait l’œil droit.

-Merde

- Et euh... pour les voix?

-Quoi les voix? ( Il prend une longue gorgée de son café) Tu commence à posé beaucoup de question mon vieux.

-Tu les entends toujours?

-Oui, pourquoi?

-Je me suis renseigné pour toi.

Pablo venait de piqué sa curiosité.

-Et alors?

-Schizophrène.

-T'es con. Je le savais déjà. Je le suis par nature et par santé.

-Elle raconte quoi?

-Depuis quand ça t'intéresse?

-Répond s'il-te-plaît.

-Parum et Altum se battent sur la ''bonne'' façon de boire un café et Nix me décrit les passants.

-Il n'y en avait pas quatre.

-Sérieusement. Tu m'a vraiment dérangé pour ça?

-Si tu le prend comme ça. Rappelle moi quand tu sera plus reposé.

-Des fois, je te hais.

-Et moi je t'aime comme un fils.

Il finit son café et repartie chez lui.

Le retour fut plus compliqué. Un vent de face c'était levé et il soulevait la neige nouvellement tombée. Ce qui donna un résultat fort désagréable. Parum et Altum débattait sur ce qui venait de se passer et Nix s'amusait follement. Quelques fois, il se demandait vraiment si Nix et et Ignis était juste des voix dans sa tête ou elles étaient quelques choses d'autres. Allez savoir, ils n'a jamais vraiment compris toute l'étendu d'être un sorceleur. Nix et Ignis était peut-être deux esprits qui le suivait partout parce qu'elles l'aimaient bien. Les hypothèses se bousculaient dans sa tête ponctuée par le débat de Parum et Altum.

Il finit par arrivé chez lui et se couché dans son lit. Malgré la fatigue accumulée par ses dernières semaines, Walter trouva difficilement le sommeil. C'était assez déroutant qu'un homme que l'ont connais depuis presque 26 ans, pose des questions comme celle là sans avoir préparer le terrain. Ça ne sentait pas bon.

Il se réveilla quelques minutes avant treize heures. Il prit une douche rapidement et déjeuna lentement au son de la radio. Un soleil timide éclairait sont logement et un air de Verdi animait son déjeuner. Parum et Altum se battait déjà sur son choix de céréale.

Il finit, fit sa petite vaisselle et pris le téléphone. Il appela Pablo, à cette heure il devait sûrement être à la boucherie familiale. Une courte discussion s'en est suivit, rien de bien important. Mise à part une demande inhabituelle de leurs patrons. Il est très rare qu'ils demandent à voir un homme comme lui dans leurs casinos de Elas Vegas. Pablo n'avait aucune idée de ce qui pouvait les motiver. Cela expliquais ses questions de la veille. Le veille homme pensait que Walter c'était fait griller. Les choses étranges commençaient à se multiplier et Walter n'aimait pas ça.

Ils voulaient le voir au plus tôt. Soit, hier... pas de bol pour eux, il ne bougerait pas avant demain et il sera dans un des casinos dans 3 ou 4 jours département du temps. Ils ne seront probablement pas dans leurs meilleurs disposition, mais il est très rare qu'ils le soient. Walter pris le reste de l'après-midi à consulter les journaux à la recherche d'un indice qui le pousserait à fuir. Les journaliste sont comparable aux rats. Ils ne sont jamais au bon endroit et trouve toujours la moindre parcelle d'information que les policiers s’efforcent de cacher.

Le soleil avait déjà disparu depuis longtemps quand Walter sortit des journaux. Il n'avait rien trouvé de concluent. Les enquêteurs avaient conclus à un vol. il se leva et se prépara un repas qu'il mangea lentement. Il se fit un thé et prépara sa pipe en la bourrant de tabac pendant que l'eau bouillait. Il passa le reste de sa soirée à remuer, avec toutes les voix ,l'univers des possibles autour de cette convocation mystère.

Ils y passèrent une partie de la nuit, si bien que Walter ne serait dire à quelle heure il s'était endormie sur le fauteuil du salon. Il se réveilla aux petites heures du matin, fit de nouveau sa valise, se prépara et partie pour Elas Vegas.